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COTE INFORMATIONS

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    § Où acheter une maison à prix abordable

    Vous rêvez de devenir propriétaire d’une maison avec un — petit – terrain, mais avec la hausse des taux et l’inflation, vous ne trouvez aucun bien immobilier dans votre budget ? Et si vous vous tourniez vers de nouveaux horizons ? Certaines communes proposent encore des logements à prix attractifs. Rassurez-vous, l’idée n’est pas de devenir éleveur de chèvres au fin fond de la France. Les communes visées comptent toutes plus de 20 000 âmes et cochent de nombreux critères qui en font des endroits où il fait bon vivre : services de proximité, taux d’emploi élevé, vie culturelle riche, coût de la vie faible, zones vertes, sécurité… Où se situent ces perles rares ? Chaumont dans la préfecture de la Haute-Marne arrive en tête, suivie de Haguenau dans le Bas-Rhin, et d’Épernay dans la Marne. Un podium 100 % Grand Est ! Pour acheter une maison de 85 à 120 m2 pour environ 200 000 € tout en bénéficiant d’une bonne qualité de vie, direction Niort, La Roche-sur-Yon, Blois, Cholet. Retrouvez l’intégralité du classement dans cet article. Il ne reste plus qu’à réorienter vos recherches.

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    § La détérioration du pouvoir d’achat immobilier en 9 ans

    Les prix immobiliers ont fortement grimpé dans les principales villes de France au cours des neuf dernières années, mais les salaires n’ont – malheureusement – pas suivi la même courbe. À Lyon, il faut désormais gagner 56 000 € brut par an pour s’acheter un bien immobilier de 40 m2, contre 37 400 € en 2014. Notons que ces chiffres englobent le coût total (prix du bien, frais de notaire, coût du crédit…) mais ne tiennent pas compte d’un éventuel apport personnel. À Bordeaux, le salaire annuel doit également dépasser les 50 000 € bruts pour acquérir un deux-pièces, soit une rémunération nette mensuelle de 3 512 €. Or, selon l’Insee, un Bordelais gagnait en moyenne 2 864 € par mois en 2021. En 2014, il était possible de devenir propriétaire du même appartement en touchant 2 131 € par mois. Cette déconnexion entre les salaires locaux et les prix de l’immobilier se vérifie également à Marseille, à Lille, et surtout à Paris. Dans la Ville Lumière, il faut toucher le salaire astronomique de 113 945 € brut par an pour espérer s’offrir un 40 m2. Toutes ces métropoles sont prisées par les jeunes actifs pour débuter leur carrière professionnelle mais pour bon nombre d’entre eux, y devenir propriétaire semble mission impossible. À l’heure actuelle, louer relève également du parcours du combattant, surtout à Paris, Marseille et Bordeaux où le stock de biens en location ne se renouvelle pas.

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    Le métier d’agent immobilier, entre rêve et réalité

    Eh non, agent immobilier n’est pas un métier à la portée de tous. « Chasseurs d’appart », « Maison à vendre »… Rendue populaire par les émissions de Stéphane Plaza et la série « L’Agence », la profession est loin d’être un long fleuve tranquille. Ceux qui se sont laissés inspirer par le tableau dépeint par le petit écran déchantent rapidement une fois sur le terrain. Avant d’entreprendre des études ou de se reconvertir vers la profession d’agent immobilier, il est important de connaître les avantages, mais aussi les inconvénients du métier. Heures supplémentaires non payées, sollicitations du matin au soir, semaine à plus de 50 heures, c’est aussi ça la — dure — réalité. Les débuts peuvent être éprouvants pour celui qui n’y est pas préparé. Très dépendant de la conjoncture, le marché peut vite se renverser en peu de temps. Une commission peut rapidement s’envoler si l’acheteur se rétracte. L’incertitude est une réalité avec laquelle il faut apprendre à jongler. En dépit de ces obstacles, l’engouement pour la profession ne faiblit pas car si les affaires fonctionnent, elle apporte son lot de promesses, à savoir toucher un salaire attractif et disposer d’une grande autonomie.

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  • L'immobilier 2023 "Crise or not to crise"

    Aujourd'hui, les réseaux sociaux regorgent d'articles concernant ce sujet. On y trouve des experts, des professionnels, des thérapeutes immobiliers (oui, ça existe, lol), des super coachs, et nous, qui sommes sur le terrain, qu'en pensons-nous ? La crise est mise en avant en raison du virus chinois, puis de la guerre en Ukraine, et encore de la sécheresse... mais où allons-nous ?

    Permettez-moi de vous présenter mon analyse : la vie devient de plus en plus difficile pour le commun des mortels. Le coût de la vie augmente tandis que les salaires stagnent (à cause des charges excessives), mais bon, évitons de parler de politique. Tout d'abord, les taux d'intérêt augmentent de manière fulgurante, les taux d'emprunt s'envolent et les vendeurs pensent détenir une perle rare avec leur logement. Stop.

    Malheureusement, nous ne pouvons rien faire concernant les taux d'intérêt et les taux bancaires. C'est à l'État d'intervenir, et notre cher président connaît bien son métier !

    Ensuite, il est crucial que les vendeurs se montrent raisonnables, et là, ce n'est pas gagné ! Certains experts prétendent que les taux pourraient atteindre 6 % d'ici la fin de l'année, voire plus. J'espère sincèrement que cela ne se produira pas, car ce serait une catastrophe pour certaines personnes. Pour un couple avec un revenu de 3000 €, un taux d'endettement de 33 %, un apport de 20 % et un taux de 3 %, ils pourraient emprunter 250 000 €, frais de notaire inclus. À ce prix, il est très difficile de trouver quelque chose de convenable, peut-être seulement du neuf, mais comme les matériaux ont augmenté (encore une fois), ils devront réduire la surface. La crise est particulièrement favorable aux couples gagnant plus de 10 000 € sans problème... Les loyers augmentent également (encore une fois), donc il vaut mieux acheter et rechercher la perle rare.

    Si votre dossier est accepté par la banque, vous pourrez toujours renégocier le taux lorsque celui-ci diminuera (je l'ai déjà fait).

    Ainsi, tout le monde doit faire des efforts pour éviter une chute des ventes immobilières et les conséquences qui en découlent : fermetures d'agences, licenciements... Même les artisans seront impactés, car il y aura moins de travaux de rénovation. C'est une chaîne, et si un maillon casse, c'est la catastrophe.

    Je suis persuadé que l'État, la Banque de France et les banques vont se ressaisir, et les vendeurs doivent cesser de spéculer. Ils doivent vendre à un prix correct, sans surestimation en fonction des tendances.

    Les professionnels de l'immobilier doivent faire preuve de patience. Le marché va reprendre, il ne peut en être autrement.

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    Faites le plein d'informations

    Un crédit avantageux pour acheter un logement vert

    202319061530TRANSITIONENERGETIQUE.jpgVous avez l’intention d’acquérir un logement performant sur le plan énergétique ou d’acheter une passoire thermique et de la rénover ? Pour obtenir un crédit immobilier à un taux très intéressant, allez voir du côté de la Banque postale. À travers ses taux bonifiés, l’organisme bancaire souhaite donner un coup de pouce à ceux qui optent pour un logement plus respectueux de l’environnement. Primo-accédant, secundo-accédant, investisseur, tout le monde y a droit. À combien s’élève ce taux préférentiel ? Tout dépend de votre projet immobilier. Les futurs acquéreurs d’un logement neuf, récent ou rénové se verront accorder une réduction de 0,20 point. Ceux qui achètent un logement énergivore, c’est-à-dire classé D à G au DPE, profiteront d’un taux bonifié de 0,30 point, à condition de payer les travaux de rénovation grâce au crédit. Si leur financement n’est pas prévu dans le crédit, la réduction s’élève à 0,10 point. Une bonne nouvelle, à l’heure où les taux s’envolent. Ce crédit est attribué automatiquement. Inutile de sortir le grand jeu. De quoi ravir ceux qui ne maîtrisent pas l’art de la négociation.

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    Les prix des terres agricoles au plus haut depuis 1997

    Le prix moyen des terres agricoles atteint 6 130 euros par hectare (+3,2% en un an), un record depuis 1997 selon les derniers chiffres de la Safer.

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    Baisse des prix généralisée en France

    Les prémices du printemps ne sont pas cette année synonyme de reprise pour le marché immobilier. Les prix baissent partout en France. Seules quelques villes échappent à la règle, comme Nice avec une très légère hausse en mars (+ 0,7 % à 5 078 €/m2), Mulhouse (+ 2 %) ou Tours (+ 3,5 %). Comme partout cependant, les délais de vente y ont rallongés, entre 3 semaines et 1 mois. En 3 mois, les prix ont baissé de 3,6 % à Caen et Toulon, de 3,5 % à Lyon, de 3,2 % à Nantes, de 2,4 % à Aix-en-Provence ou encore de 1,8 % à Montpellier. À Paris, pionnière de la baisse des prix, cette dernière s'établit à 1,2 % sur 3 mois. Le pouvoir d'achat des ménages étant contraint par les taux de crédit, les prix baissent et les négociations vont bon train.

    Acheter ou attendre ?

    Le marché immobilier ralentit et les prix baissent, on l'a vu. Le nombre de transactions recule lui aussi. Après 2 années record à plus de 1 millions, 2023 pourrait se situer sous la barre des 900 000 transactions. Dans ce contexte, les acheteurs recommencent à négocier et obtiennent des baisses de prix. Les prix des logements étiquetés E, F et G (qui sont progressivement interdits à la location) pourraient baisser, car les acheteurs reculent devant les travaux à effectuer et s'en détournent. Il pourrait donc apparaître urgent d'attendre encore, sauf que les taux, eux, n'en finissent pas de monter, et la baisse des prix est loin de compenser leur hausse. De plus le moment est rarement idéal pour acheter mais on peut regretter de ne pas l'avoir fait 5 ou 10 ans plus tôt. On peut envisager de cibler une ville où les prix baissent, et/où un logement étiqueté F ou G, qui offrira une plus grande marge de négociation (jusqu'à 15 %).

    Le logement neuf s'enfonce dans la crise

    2022 plus mauvaise que 2020, c'est le douloureux constat que font les promoteurs. Entre 2021 et 2022, les ventes de logements neufs ont reculé de 19,3 %. Les permis de construire délivrés sont en légère hausse (+ 3,1 %), en partie liée à l'entrée en vigueur de la RE 2020 en 2022. Les mises en vente reculent, elles, à 98 081 contre 106 116 en 2021. Le logement abordable devient une chimère en Île-de-France, où le m2 atteint la somme record de 5727 €, s'alarme le directeur de la FPI d'Île-de-France. Autre point nouveau qui inquiète, l'envolée des désistements qui atteignent des records. Après signature du contrat de réservation, les clients se rétractent à hauteur de 50 % (contre 27 % en 2022 et 13 % lorsque l'inflation était inférieure à 2 %). Après la signature, ils prennent peur et se disent que le moment n'est pas bon. Les promoteurs sont coincés car avec la hausse des taux qui empêche les acheteurs, ils ne peuvent pas augmenter les prix de vente. Et dans le même temps, les prix du foncier et des matériaux ne baissent pas.

    Source : Superimmo.com

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    Acheteurs ou vendeurs, qui a la main ?

    Les vendeurs seraient encore les maîtres de la négociation, selon une étude du réseau Guy Hoquet l'Immobilier. En janvier, les prix dans les agences du réseau se sont négociés en baisse de 4,61 % en moyenne, soit quasiment comme en janvier 2022 (- 4,74 %). Les prix ne sont donc actuellement pas bradés. Ils seraient même en hausse de 3,5 % à l'échelle nationale selon le baromètre maison, avec toutefois plusieurs régions où ils baissent (Auvergne-Rhône-Alpes, Île-de-France, Nouvelle Aquitaine et Paca). Même constat pour le porte-parole des notaires du Grand Paris qui dit ne pas ressentir de baisse significative, mais une phase d'entre-deux. Selon la même étude, ce sont les maisons qui se négocient le plus à - 5,31 %, contre - 3,98 % pour les appartements. Dans ce contexte, ce sont les vendeurs qui restent en position de force. Tout le monde s'observe, et les acheteurs ont tendance à attendre, quitte à repousser leur projet en attendant des jours meilleurs et des prix en baisse. La situation pourrait d'ailleurs s'inverser dans les prochains mois avec notamment l'arrivée sur le marché de nouvelles passoires thermiques. La diminution du nombre d'acheteurs, en lien avec les difficultés croissantes d'accès au crédit, pourrait également forcer les vendeurs à baisser leur prix pour réussir à vendre

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  • Taxe d'aménagement : quels tarifs en 2023 ?

    Logo_Service-public.fr.svg.pngPublié le 06 janvier 2023 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

    Vous souhaitez faire construire un abri de jardin, une extension ou une piscine et vous avez entendu parler d'une taxe d'aménagement à payer ? Comment se calcule-t-elle ? Savez-vous que les tarifs au m2 de surface de construction sont actualisés au 1er janvier de chaque année ? Un arrêté a été publié en ce sens au Journal officiel du 31 décembre 2022.

    La taxe d’aménagement due pour les constructions nécessitant une autorisation d’urbanisme augmente de plus de 8 % en régions en 2023. La hausse était de près de 7 % en 2022.

    Les montants fixés pour l'année 2023 sont de :

    • 886 € le m² hors Île-de-France (contre 820 € en 2022) ;
    • 1004 € le m² en Île-de-France (contre 929 € en 2022).

    Les valeurs forfaitaires par mètre carré de surface de construction, constituant l'assiette de la taxe d'aménagement, sont révisées au 1er janvier de chaque année en fonction du dernier indice du coût de la construction publié par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Pour l'année 2023, il s'agit de l'indice 2037.

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  • INFO IMMO.

    Le taux d'usure va être mensualisé

    Le calcul du taux d'usure va bien être actualisé tous les mois temporairement, et non plus tous les trois mois. C'était une demande insistante des courtiers en crédit, qui constataient un nombre grandissant de dossiers refusés à cause de la remontée des taux. Le taux d'usure opérait rapidement comme un couperet, qui fermait l'accès au crédit aux ménages modestes et aux primo-accédants. Selon le Ministère de l'Économie qui a validé la mesure, "cette mensualisation permettra de maintenir l'objectif de protection des emprunteurs qu'a le taux d'usure, tout en évitant une situation où le taux d'usure deviendrait un facteur de rationnement de l'offre de crédit". 

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